“On doute beaucoup de nous”

Avant de nuancer ses propos. “Nous doutons beaucoup de nous-mêmes, parfois probablement. Cependant, je pense que nous pouvons avoir confiance en notre avenir car la France a de nombreux atouts pour être compétitive dans ce monde et obtenir des résultats.” Le candidat à la présidentielle avait regretté pendant la campagne présidentielle l’analyse des petites peines qu’il avait annoncées durant ses cinq années de mandat et qui avaient parfois choqué les Français.

“Une chose qui m’importe : ne pas blesser”

De “ceux qui ne sont rien” à “traverser la rue et te trouver un boulot” en passant par son envie de “faire chier” les non-vaccinés contre le Covid-19, son premier mandat a été inondé de commentaires qui ont blessé son auditoire. image. “Quand on remet ça dans le contexte, familiarité ne veut pas dire provocation. Mais il y a une chose qui m’importe et qui n’est pas de faire de mal”, a déclaré Emmanuel Macron aux lecteurs des journaux du groupe Ebra, dont Le Dauphiné. Il a été publié en avril dernier pendant la campagne présidentielle. Le chef de l’Etat n’a alors avoué qu’un seul regret : ses propos de ministre de l’Economie aux salariés “analphabètes” du groupe GAD.

“Une blague”

Preuve de la volonté de l’Elysée d’éviter toute nouvelle polémique : l’environnement du président a relativisé les propos tenus à Bangkok. Lire la suite “C’était une blague. Il parlait du besoin de compréhension et d’interaction entre la culture française et asiatique. Il n’y avait vraiment aucune allusion”, raconte un de ses proches à BFMTV. “C’était une remarque anodine. Ça faisait référence à une perception des Français de l’étranger, mais ce n’est pas un jugement de valeur”, promeut encore la présidence. L’article original a été publié sur BFMTV.com VIDÉO – Emmanuel Macron : “Nous n’avons pas d’autre choix que de travailler plus”